Venez avec vos rêves.
L’esprit d’analyse pour “débuguer l’inconscient”.
Pulsions, répétitions de vie personnelles ou professionnelles, actes involontaires, il est temps de poser vos valises.
Psychanalyste - Superviseur - Psychodramatiste
Consultations au cabinet 4 place Lazare Carnot 87000 Limoges - Téléconsultations et consultations en ligne et au téléphone dans toute la France et depuis l’étranger pour les expatriés de langue française.
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Psychanalyste du particulier et du chef d’entreprise. Une première consultation préalable est gratuite et sans engagement, elle permet de se faire une idée et de voir si cette démarche vous parle et est adaptée pour vous.
Débuguer l’inconscient : vous emportez toujours vos valises avec vous, comment vous en libérer ?
Pulsions, répétitions de vie personnelles et professionnelles, blocages et réactions involontaires à votre corps et votre esprit défendant sont des valises que vous emportez toujours avec vous.
Inutile de fuir, par crainte de souffrir, ou d’avoir peur d’affronter cela : il est possible de vous libérer facilement.
Débuguer l'inconscient, c'est vous permettre d’enrayer ce qui vous aliène au quotidien de vos vies personnelles et professionnelles. C’est-à-dire poser votre corps et de rentrer par la parole dans cet état modifié de conscience qui vous permet d’associer librement et de reprogrammer votre inconscient.
Pourquoi consulter ?
A force de vouloir se maîtriser, de tout vouloir maîtriser, on finit par s'aliéner…
[01:59]
Profitez d’une séance gratuite et décidez si vous voulez vous lancer.
Il n’y a ni engagement, ni pression, ni obligation.
Le replay.
Débuguer l’inconscient. La santé psychique au Royaume-Uni en temps de pandémie. 10 juin 2021
Intervention à [39:21]
“On a beau s’expatrier, on emporte toujours ses valises avec soi : comment s’en libérer ?”
Téléconsultations psy France.
Lorsque la proximité géographique n’est plus possible, la langue maternelle reste la raison principale pour décider de consulter un psychanalyste de langue française en téléconsultation. C’est souvent le cas des expatriés français, canadiens, luxembourgeois, belges, suisses, qui recherchent un spécialiste pour les écouter.
Manuel pratique et mode d’emploi simple, à l’usage des néophytes qui voudraient savoir comment se pratique la psychanalyse et dans quel but.
Il est aussi possible de le commander dans l’une des 10 000 librairies de votre quartier :-)
L’esprit d’analyse : la psychanalyse à la portée de tous
Bienvenue dans le monde de la programmation inconsciente.
« Psy, psy et psy, quelles différences ? M’allonger sur un divan, vous n’y pensez pas ! La psychanalyse c’est long, fastidieux et ça coûte très cher ; d’ailleurs ce n’est même pas remboursé par la sécurité sociale ! A quoi bon revenir sur mes blessures d’enfance et retourner le couteau dans la plaie ? Je n’ai pas vraiment envie de dévoiler mes pensées les plus intimes à quelqu’un… J’ai peur d’être jugé-e, je n’ai déjà pas très confiance en moi… Personne ne prendra le contrôle sur moi, certainement pas un psy ! Je ne veux pas que l’on fasse intrusion dans ma tête… Si l’un de nous deux entre en analyse, mon couple va divorcer… De toutes façons c’est pour les riches et les personnes égocentrées ! A quoi ça sert de se regarder le nombril ? Je connais mes problèmes et je sais m’analyser seul ! Il existe des thérapies brèves qui sont plus adaptées à notre époque actuelle… j’ai appris à contrôler mon stress… Pourquoi certaines allusions me font littéralement exploser ? Puisque je te dis que je vais bien : TOUT VA BIEEENNNNN BORDEL ! (Lâche-moi, quoi) … »
La bonne nouvelle, c’est que vous avez le pouvoir de l’utiliser et d’y remédier. Par vous-même. Vous découvrirez comment dans cet ouvrage.
Encore un peu plus loin.
Difficile de se faire une idée pour soi ? C’est aussi une rencontre...
Analyse stratégique, fonctionnelle, technique, opérationnelle, décisionnelle, émotionnelle… nous avons tous un excellent esprit d’analyse, mais avons nous développé celui-ci ?...
Aimeriez-vous affûter votre esprit d’analyse ?
En tant que dirigeants, nous avons tous généralement un excellent esprit d’analyse.
Mais il se trouve que nous n’entendons pas la moitié de nos pensées, et nous passons involontairement à côté de beaucoup de choses.
Ce potentiel est inexploité.
Par ailleurs nous sommes souvent victimes de pulsions et de répétitions que nous ne contrôlons pas consciemment.
Il s’agit de « débuguer » cela.
Tout simplement.
Alors, aimeriez-vous accéder à de nouvelles dimensions de conscience, à une acuité particulière et insoupçonnée de votre propre esprit d’analyse ?
Avec des réels effets concrets, durables et opérationnels dans votre vie ?
A force de vouloir tout maîtriser, de trop vouloir se maîtriser, on finit par s’aliéner.
“Gérer son stress” revient souvent à “le mettre dans des petites boîtes” et, finalement, à le contraindre encore plus. La relaxation permet bien sûr un effet de soulagement passager. De nombreuses techniques existent pour y parvenir. Durablement ?
Nos pulsions et nos répétitions nous emmènent souvent sur des terrains personnels et professionnels indésirables.
Notre inconscient est un pilote automatique qui enregistre nos expériences émotionnelles à chaque instant et nous aide à réagir selon les circonstances, depuis notre enfance.
Il arrive parfois que la liaison ne se fasse pas sur une nouvelle expérience, et que celle-ci nous entraîne contre notre gré dans des pulsions, des répétitions et surréactions involontaires : une sorte de “bogue” souvent incontrôlable. Les situations se répètent, que l’on change de partenaire, de collègues, d’amis ou de région, nous sommes confrontés aux mêmes situations, aux mêmes personnes...
Dans ce cas, malgré vos tentatives d’y remédier, vous constatez qu’après avoir tenté diverses techniques de développement personnel, de coaching ou de consulting, excellentes et efficaces au demeurant pour réaliser des objectifs concrets et opérationnels, ces pulsions et ces répétitions “à votre corps défendant” ne passent pas : la bonne nouvelle, c’est que vous êtes au bon endroit pour y remédier.
Quand réussir ne suffit pas.
L’esprit d’analyse du chef d’entreprise [01:19]
Un potentiel inexploité.
Analyse stratégique, fonctionnelle, technique, opérationnelle, décisionnelle, émotionnelle…
Nous avons tous un excellent esprit d’analyse, mais avons-nous développé celui-ci ?... [02:01]
Ce qu’il s’en dit.
Interview.
“Psychologiquement, c’est normal que ce soit difficile à licencier un salarié ?
Oui, bien évidemment. Licencier un(e) collaborateur(trice), n’est pas naturel. D’autant que si l’on parle de licenciement, cela sous-entend que dans les entreprises de moins de 50 salariés, c’est le/la chef(fe) d’entreprise qui recrute ET licencie. Si d’un côté juridique, c’est souvent le comptable qui s’y colle (dans le pire des cas, c’est un avocat), la mise en place de la procédure et le côté psychologique sont réservés au Boss. Soulagement ou culpabilité, il est impossible de ne rien ressentir ! Nous pouvons être bouleversé ou angoissé à l’idée de passer à l’acte. C’est extrêmement difficile, même si le licenciement est justifié d’une façon ou d’une autre….
Les Chroniques d’Adélaïde : Selon votre expérience, me confirmez-vous que le licenciement est un acte qui peut être difficile pour le dirigeant quel qu’en soient les raisons ?
Frédéric Duplessy : Oui, c’est particulièrement pénible et difficile. C’est d’ailleurs une situation qui ne s’envisage qu’en dernière extrémité. Dans mon cas il aura fallu tout un ensemble de circonstances pour me décider à appeler un avocat, lui exposer les motifs de mon appel et d’ailleurs entendre de sa part qu’aucun des motifs exposés n’était recevable juridiquement, à part un bien sûr. Or, l’entreprise était en danger, et les emplois également. Il fallait absolument agir et trouver une solution. C’est éprouvant…”
Témoignages.
« Je ne savais pas que ça pouvait faire autant de bien de parler »
une réaction de plus de 80 % des chefs d’entreprise, à laquelle ils ajoutent :
« Pourtant je n’aurais jamais imaginé m’allonger un jour sur un divan, c’était impensable. »
Alors, qu’est-ce qui leur a pris ?
Il se trouve que malgré leur réussite, la plupart des dirigeants y sacrifient leur vie. Un choix délibérément et librement assumé, mais qu’ils paient souvent cher une fois que la réussite est là.
Qu’en reste-t’il vraiment ?
Est’elle toujours désirable cette réussite si le reste est un désert, un champ de ruine ou un quotidien sous perfusion ?
Accéder au succès demande des sacrifices, mais seulement temporairement. Beaucoup y sacrifient définitivement les aspects essentiels qui pourraient constituer un bonheur large et durable. La sécurité matérielle et le confort constituent un socle, ou un toit. Beaucoup les considèrent comme un tout et passent à côté de leur vie sans la voir, en l’abandonnant même tellement qu’elle n’est plus là au bout de l’effort, dans une récompense et un achèvement, un accomplissement, finalement vide de sens : Une coquille, un écrin fabuleux de vacuité.
Tout cela pour çà.
Interview.
Ce que le covid-19 a changé dans les entreprises : entretien avec Frédéric Duplessy, psychanalyste .
… “Il y a donc une différence de pression entre le chef d’entreprise et le salarié selon vous ?
« Oui complètement. Le salarié va avoir une pression par rapport à l’incertitude de son travail et par rapport aux sanctions, aux questions qu’il peut se poser sur la qualité de son travail et ses conséquences. Ce qui est tout à fait normal. Je l’ai vécu en tant que salarié avant d’être patron et je l’ai vécu en tant que salarié après avoir été patron […] Le patron, lui, la différence, est qu’il a l’incertitude des lois et des réglementations qui font que quand il fait un prévisionnel, il dit “je vais faire tel chiffre d’affaires en terme de rentrée d’argent, je vais pouvoir payer les salaires et les charges pour telle partie, je vais pouvoir me payer pour telle partie, je vais pouvoir payer le loyer pour telle partie…” et le problème, c’est que les règles du jeu changent en permanence. Il n’y a pas que le Covid ; cela peut être, par exemple, une nouvelle législation et donc il est constamment sur le grill. Un chef d’entreprise, il a la chance peut-être de pouvoir développer des affaires mais s’il y a un retournement de situation, c’est sa maison qui est en jeu, sa voiture, ses enfants, sa vie. »
Cette incertitude est d’autant plus vraie en cette période… C’est quelque chose que les chefs d’entreprise vous font remonter ?
« En permanence. Ce n’est que ça. En fait, ils sont livrés pieds et poings liés … “
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Il n’y a ni engagement, ni pression, ni obligation.
« La Clinique Analytique Nouvelle est spontanément née des brumes d’un songe, au réveil, cristallisant un sigle signifiant : LaCAN. Signifiant pour le coup édifiant puisqu’il est à l’origine et au quotidien de ma pratique, de l’orientation initiale de ma cure, de mes études jusqu’à mon travail psychanalytique actuel, avec bien sûr et tout d’abord Sigmund Freud, ainsi qu’un autre pionnier de l’analyse que j’affectionne particulièrement, et dont je me sens proche, Sándor Ferenczi.
Il est survenu par association, et peut-être pour en devenir une, d’association, mais de la Loi de 1901, ou peut-être une plateforme d’accueil d’autres formes de structures (Fondation, édition, etc.), car il s’est imposé à moi comme une signature globale pour mes travaux, recherches, productions et interventions analytiques. Et pourquoi pas pour ceux de quelques autres…
Cette clinique n’a de nouvelle que son expression d’aujourd’hui, dans une société qui n’est plus celle des contemporains de Jacques Lacan, société qui produit des symptômes différents de ceux des XIXe et XXe siècles, une clinique du XXIe siècle donc, qui doit pourtant tout aux deux siècles d’expérimentations et de productions psychanalytiques précédents. La langue de la psychanalyse est unique et précieuse. »
« La méthode mise en place par Frédéric DUPLESSY, c’est l’équivalent du phare au milieu de la tempête.
L’itinéraire, vous le connaissez, c’est vous qui l’avez tracé…
Mais quand les éléments autour de vous se déchaînent, vous perdez le cap et n’arrivez plus à le retrouver seul.
Il vous aidera à y voir plus clair et à reprendre la barre ! »
—Emilie Gillet, A20, chef d’entreprise. Maire de la commune de Glanges